Lorsque l’on fait sa généalogie, il arrive souvent que nous trouvions des points bloquant. Nous nous notons alors, dans un coin de notre mémoire, d’y revenir. Le temps passe, d’autres informations nous arrivent, et trop pressés de découvrir ces nouvelles informations, nous oublions de revenir sur ces points.
Je sais que pour Antoine BOUDAREL, j’ai des recherches complémentaires à mener. Je reviens ainsi régulièrement sur le sujet.
Lorsqu’un point devient bloquant, il ne faut pas s’acharner dessus mais simplement se noter d’y revenir. Bien souvent, au cours d’une conversation, d’une autre recherche, un détail va nous donner le déclic qui nous manquait.C’est ce qui m’est arrivé pour le couple Joseph FOURNIER-Marie VINCENT. Je ne trouvais pas le lieu de naissance de Marie ni celui du mariage. Je savais que Joseph était né à Saint-Uze et qu’ils avaient une fille, Marie, un fils, Albert, nés à Crépol. Je décidais donc de laisser cette recherche de mariage tout en notant d’y revenir régulièrement.
Quand je reprends un dossier, je le reprends complètement, c’est-à-dire que je relis tous les documents en ma possession. C’est ce que je fis pour le couple FOURNIER - VINCENT et la réponse m’est venue facilement.
Dans l’acte de naissance de Marie, il est écrit que Joseph est domestique et domicilié à Lyon et que Marie VINCENT est ménagère « domiciliée au même lieu ». Nous sommes en 1869, deux « provinciaux » domestiques à Lyon, à la même adresse ? Première hypothèse : ont-ils été domestiques chez une même personne ? Dans ce cas, ils se sont peut-être mariés à Lyon.
Je lance la recherche et… trouve leur mariage le 25/04/1867 dans le 2e arrondissement de Lyon. La piste était débloquée, la recherche pouvait continuer.
Noter ses recherches peut également nous donner l’idée de rechercher une information en dehors des sentiers battus : l’histoire du village, approfondir une connaissance sur un métier, une période. C’est que nous fait aussi prendre conscience que nos ancêtres sont plus qu’une suite de noms et de dates.
Il est donc important de s’organiser en notant précisément l’information qui nous manque et en planifiant d’y retourner.
Plusieurs moyens sont à notre disposition :
Plusieurs moyens sont à notre disposition :
- Dans chaque logiciel de généalogie, il est possible de noter ces annotations sous format de pense-bête. L’inconvénient que j’y trouve est le fait qu’il nous oblige à retourner sur la fiche pour voir cette annotation. Il est donc très facile d’oublier que nous aurons à retourner sur cette fiche.
- Il est possible de se faire des petites fiches, style Bristol, en y notant le numéro Sosa, les informations en notre possession et le point bloquant avec les pistes explorées et les questions que nous nous posons.
- Il est également possible d’utiliser les outils internent à notre disposition. Personnellement j’utilise Netvibes. Netvibes offre à ses utilisateurs un site web personnel constitué par des pages onglets. Il existe des modules qui permettent de personnaliser sa page. J’utilise ainsi le module « To do list », liste des tâches, pour ma généalogie.
Je sais que pour Antoine BOUDAREL, j’ai des recherches complémentaires à mener. Je reviens ainsi régulièrement sur le sujet.
Lorsqu’un point devient bloquant, il ne faut pas s’acharner dessus mais simplement se noter d’y revenir. Bien souvent, au cours d’une conversation, d’une autre recherche, un détail va nous donner le déclic qui nous manquait.C’est ce qui m’est arrivé pour le couple Joseph FOURNIER-Marie VINCENT. Je ne trouvais pas le lieu de naissance de Marie ni celui du mariage. Je savais que Joseph était né à Saint-Uze et qu’ils avaient une fille, Marie, un fils, Albert, nés à Crépol. Je décidais donc de laisser cette recherche de mariage tout en notant d’y revenir régulièrement.
Quand je reprends un dossier, je le reprends complètement, c’est-à-dire que je relis tous les documents en ma possession. C’est ce que je fis pour le couple FOURNIER - VINCENT et la réponse m’est venue facilement.
Dans l’acte de naissance de Marie, il est écrit que Joseph est domestique et domicilié à Lyon et que Marie VINCENT est ménagère « domiciliée au même lieu ». Nous sommes en 1869, deux « provinciaux » domestiques à Lyon, à la même adresse ? Première hypothèse : ont-ils été domestiques chez une même personne ? Dans ce cas, ils se sont peut-être mariés à Lyon.
Je lance la recherche et… trouve leur mariage le 25/04/1867 dans le 2e arrondissement de Lyon. La piste était débloquée, la recherche pouvait continuer.
Noter ses recherches peut également nous donner l’idée de rechercher une information en dehors des sentiers battus : l’histoire du village, approfondir une connaissance sur un métier, une période. C’est que nous fait aussi prendre conscience que nos ancêtres sont plus qu’une suite de noms et de dates.
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