Dick Eastman pose dans son blog une question très intéressante : que faites-vous de vos vieux livres ?
De nombreuses bibliothèques ont parfois un choix à faire. Après avoir scanné leurs livres qu’en font-elles ?
Pour les livres modernes la question ne se pose presque pas, leur valeur étant quasi nulle, un livre digitalisé est un livre qui sera ensuite détruit.
Mais que faire des livres anciens ?
Un professeur New-Yorkais découpe soigneusement les feuilles des livres, les scanne puis les sauvegarde grâce à un logiciel de reconnaissance d’image qui permet de rechercher facilement le fichier scanné.
Une fois cette opération réalisée, les pages sont détruites.
Un autre amateur de livre va donner son surplus aux associations, alors qu’un autre va les revendre via E-Bay.
Pour ma part, je suis surtout entourée de livres modernes. Toutefois une passion des livres vous amène vite à vous retrouver avec des livres partout dans toutes les pièces.
J’ai réalisé en début d’année un grand ménage. Certains livres ont été donnés à la bibliothèque municipale, d’autres vendus sur Internet.
J’ai gardé certains livres de généalogie, j’en ai revendu d’autres. En aucun cas je n’ai scanné leurs pages, l’idée ne m’a pas effleurée. Et pourtant !
Et pourtant j’utilise ce principe avec les magazines de généalogie.
Comme pour les livres, nous nous retrouvons vite envahis par tous nos magazines, quels qu’ils soient.
Les garder ? J’ai abandonné l’idée après avoir remarqué que si je me souvenais avoir lu un article traitant du sujet que je recherche, je n’étais jamais capable de retrouver dans quel numéro il était !
J’ai donc repris tous mes magazines de généalogie et scannés les articles qui m’intéressent.
Maintenant lorsque j’ai besoin d’une information il me suffit d’aller dans mon fichier Généalogie/Articles et de chercher dans l’arborescence que j’ai créée : Paléographie / Internet / Métiers / Recherche / …
Si je n’ai plus de remord à jeter mes magazines de généalogie après les scanné, je ne me vois pas me séparer de vieux livres, le rapport que j’ai avec eux étant différent, au-delà de la valeur financière.
Ces livres ont un passé, un vécu que je ressens lorsque je les ais en main.
Mais si nous jetons nos livres modernes, nous ne leur donnons pas cette possibilité d’avoir un vécu et nous ne donnons pas la possibilité à nos descendants d’avoir en main ce qui fut un élément de notre quotidien.
Et vous que faites-vous de vos livres et magazines ?
De nombreuses bibliothèques ont parfois un choix à faire. Après avoir scanné leurs livres qu’en font-elles ?
Pour les livres modernes la question ne se pose presque pas, leur valeur étant quasi nulle, un livre digitalisé est un livre qui sera ensuite détruit.
Mais que faire des livres anciens ?
Un professeur New-Yorkais découpe soigneusement les feuilles des livres, les scanne puis les sauvegarde grâce à un logiciel de reconnaissance d’image qui permet de rechercher facilement le fichier scanné.
Une fois cette opération réalisée, les pages sont détruites.
Un autre amateur de livre va donner son surplus aux associations, alors qu’un autre va les revendre via E-Bay.
Pour ma part, je suis surtout entourée de livres modernes. Toutefois une passion des livres vous amène vite à vous retrouver avec des livres partout dans toutes les pièces.
J’ai réalisé en début d’année un grand ménage. Certains livres ont été donnés à la bibliothèque municipale, d’autres vendus sur Internet.
J’ai gardé certains livres de généalogie, j’en ai revendu d’autres. En aucun cas je n’ai scanné leurs pages, l’idée ne m’a pas effleurée. Et pourtant !
Et pourtant j’utilise ce principe avec les magazines de généalogie.
Comme pour les livres, nous nous retrouvons vite envahis par tous nos magazines, quels qu’ils soient.
Les garder ? J’ai abandonné l’idée après avoir remarqué que si je me souvenais avoir lu un article traitant du sujet que je recherche, je n’étais jamais capable de retrouver dans quel numéro il était !
J’ai donc repris tous mes magazines de généalogie et scannés les articles qui m’intéressent.
Maintenant lorsque j’ai besoin d’une information il me suffit d’aller dans mon fichier Généalogie/Articles et de chercher dans l’arborescence que j’ai créée : Paléographie / Internet / Métiers / Recherche / …
Si je n’ai plus de remord à jeter mes magazines de généalogie après les scanné, je ne me vois pas me séparer de vieux livres, le rapport que j’ai avec eux étant différent, au-delà de la valeur financière.
Ces livres ont un passé, un vécu que je ressens lorsque je les ais en main.
Mais si nous jetons nos livres modernes, nous ne leur donnons pas cette possibilité d’avoir un vécu et nous ne donnons pas la possibilité à nos descendants d’avoir en main ce qui fut un élément de notre quotidien.
Et vous que faites-vous de vos livres et magazines ?
6 commentaires :
Donner : bibliothèque associative, association, autres...
J'ai des books encore à donner d'ailleurs. L'histoire de l'Empire byzantin ça intéresse qqn ;-) ?!
Pour les rares magazines que je lis, c'est en numérique maintenant. No more paper.
Mais bon les bouquins il y en a. Beaucoup. Et les déménageurs se sont foutus de moi il y a un mois en voyant "Book" ou "Archives" sur les cartons.
@d'aïeux et d'ailleurs j'ai beaucoup de mal avec le numérique, j'ai besoin de toucher ! et je trouve la lecture moins confortable.
Je suis totalement d'accord avec Sophie. La lecture sur un support numérique m'est beaucoup moins agréable. Je reçois toujours ma bonne vieille RFG imprimé sur un bon vieux papier, et honnêtement, je n'ai encore jamais rien trouvé de mieux.
Quant à jeter un livre, quelle horreur ! Ça doit être mon côté bibliophile...
Déménager au 5e sans ascenceur, on en reparlera ;-) !
@Jordi c'est vrai que l'idée de jeter un livre me stupéfait. Je préfère donner. Mais à ce rythme, aurons-nous des livres de familles que nous transmettrons à nos descendants ?
Détruire les livres scannés... quelle horreur :(
Dans le cas des bibliothèques ou universités, autant demander directement un fichier numérisé aux éditeurs (la plupart du temps ils ont au moins les PDF du texte complet).
Sinon pour ma part, je rejoins Sophie et Jordi : j'apprécie beaucoup plus la lecture sur un support papier (même si ce n'est pas très écolo à long-terme ?). Et surtout, plus on passe tout au numérique, moins nous pourrons laisser de documents à nos descendants.
Bonne idée en tout cas que de scanner des articles de magazines pour pouvoir ensuite les retrouver rapidement. Le tout est de les intégrer dans une base de donnée bien qualifiée et facile à consulter.
Par contre Maïwenn, c'est vrai que dans mes déménagements, ce sont les livres, archives et albums de photos anciennes qui m'ont fait souffrir, bien plus que l'ordi et le disque dur externe :)
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