Suite à mon billet d'humeur concernant les études sur notre espèce, genealogicus addictus, la Revue Française de Généalogie a gentiment attiré mon attention sur un nouvel opus.
L'objet du délit se trouve sur le site du journal Vosges Matin
Ma réaction ne se fit pas attendre
Si, comme moi, vous souffrez de cette addiction vous pouvez vous rendre sur Facebook et cliquer sur le bouton J'aime de la page Facebook de Genealogy Addict.
Si vous êtes irrécupérable et n'avez aucune honte à afficher votre addiction, vous pouvez vous rendre sur le site Cafe Press pour acheter t-shirts, pyjama et autres mugs et porter haut les couleurs de cette maladie qu'est la généalogie.
5 commentaires :
Il est toujours navrant de voir dénigrée une des ses passions. La plupart du temps par quelqu'un qui perd sans doute son temps sur sa playstation ou devant les feuilletons... Parce que je ne crois pas que l'auteur se shoote à Victor Hugo... Il est aussi dommage que l'aspect culturel, bénévole, l'histoire, que la curiosité, l'entraide, ne soient jamais mis en avant. Pour ma part, je trouve l'auteur de cet article bien optimiste sur la moyenne d'âge... Aux ADV, je ne sais pas où est caché le défibrillateur, mais j'espère qu'il n'est pas trop loin...
Par contre, il a raison sur la parité. La généalogie et c'est réjouissant, est une activité mixte et ça se raréfie assez pour qu'on ait plaisir à le saluer !
Salut et Fraternité Citoyenne !
Honnêtement je me demande si tout cela n'est pas du second degré. En tout cas, je préfère le prendre comme ça, d'où le ton de mon post. Et puis, si ce monsieur est vraiment sérieux, alors mieux vaut lui montrer que nous sommes certes de malades, mais de gentils malades (pas du genre de celui que l'on aime bien au village tout de même !)
Névrosés ! Allons bon, il ne nous manquait plus que ça ! Quelle image !
Bon, le côté positif : on parle de nous, certes, ce n'est pas élogieux mais à ce ryhtme de production d'articles on va finir par créer le buzz, nous, "les addicts névrosés en manque de repères et de racines".
Sérieusement, je partage l'avis de Lulu quant à tous les aspects dont on ne parle jamais. Sophie, j'espère comme toi que c'est du second degré mais quand même, le "manque de repères et de racines" me fait frémir.
Il faudrait presque un "droit de réponse". Si un magazine voulait bien publier un article de fond, avec des avis différents : ne serait-ce pas un moyen d'inciter à une autre réflexion sur notre activité ?
Voilà l'étude à l'origine de l'article, franchement elle mérite d'être lue. Elle est passionnante et bien loin de l'interprétation qu'en fait le journaliste, comme souvent hélas !
http://www.argonautes.fr/uploads/uploads/documents/2011_09_CONF_GENEALOGIE_RESULTATS.pdf
En lisant l'article, je me demande qui est le plus névrosé et addict des deux ? Moi par ma passion addict à la généalogie, ou le journaleux qui n'a rien de mieux à écrire qu'un mauvais pamphlet sur un loisir qu'il ne connait même pas. car les journaleux savent faire une chose très, écrire sur des trucs qu'ils ne connaissent, ils sont même addict à cela. S'ils ne pondent pas leur article, ils en font un caca tout mou, la preuve, le mec n'a pas du écrire depuis un bout de temps pour se lâcher aussi "gentillement" sur la généalogie. pfffffffffffffffffff même pas intéressant le mec. Juste bon à me cirer les pompes son article. et encore, pas assez de papier ! MDRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR
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