Deux généalogistes, l’un Français, l’autre germanophone, font des recherches dans les archives, les registres paroissiaux ou fonciers, les bureaux – et lorsque de besoin, dans la cave de la mairie.
Dans le Paris de la belle époque, Pierre-Valéry Archassal suit les traces d’un artiste de fort mauvaise réputation. Coureur de jupons, bon vivant, il a quitté femme et enfants. À telle enseigne que sa famille a coupé les ponts. Artiste lui aussi, son arrière petit-fils est dubitatif. Que valent ces rumeurs d’un autre temps ?
En Allemagne, André Bechtold se penche sur un objet dans la même famille depuis deux siècles : un journal de guerre de l’époque napoléonienne. Le hic : personne n’arrive plus à le déchiffrer. Comment savoir si le vieux feldwebel a vraiment vécu les aventures qu’on lui prête ? Un vrai casse-tête...
Je suis un peu déçue par l'émission. Le montage, alternant l'enquête de Pierre-Valéry Archassal avec celle de André Bechtold, ne nous permet pas de s'immerger réellement dans les recherches menées par les généalogistes.
En outre, il ne nous a été montré que les grandes lignes. Comment Pierre-Valéry Archassal a-t-il découvert que Jean Barrez alias Joé Bridge s'était remarié (probablement à partir de l'acte de décès) et avait eu un fils de ce second mariage (probablement à partir des listes de recensement) ? Comment a-t-il retrouvé l'adresse de ce fils ?
Imaginons une personne qui souhaite s'initier à la généalogie regarde l'émission, elle n'aura pas eu les réponses qu'elle attendait.
En outre, il ne nous a été montré que les grandes lignes. Comment Pierre-Valéry Archassal a-t-il découvert que Jean Barrez alias Joé Bridge s'était remarié (probablement à partir de l'acte de décès) et avait eu un fils de ce second mariage (probablement à partir des listes de recensement) ? Comment a-t-il retrouvé l'adresse de ce fils ?
Imaginons une personne qui souhaite s'initier à la généalogie regarde l'émission, elle n'aura pas eu les réponses qu'elle attendait.
Il en est de même avec l'enquête de André Bechtold. Nous le voyons remettre à son client un dossier généalogique de plus de cent pages. De quoi est-il composé ? Cela a été vaguement énoncé. Comment aboutir à un tel dossier ? Comment un généalogiste amateur peut-il composer un tel dossier ?
Autant de questions qui restent sans réponse.
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