L'étude d'un contrat de mariage nous permet de situer la position sociale des futurs époux par l'inventaire de leurs biens, mais aussi de découvrir une filiation via les témoins.
Le contrat établit entre François Théodore LAVENANT et Séraphine Albertine CARPENTIER ne déroge pas à la règle, et même plus.
Le contrat de mariage établit le 7 février 1870 devant Maître LAMOTTE à Gamaches (80), nous apprend que les parents du futur époux font donation d'une somme de trois cents francs à titre d'avancement d'hoirie (héritage). Les parents de la future font donation de biens meubles :
- d'une armoire estimée à cent francs,
- d'un buffet estimé à cinquante trois francs,
- d'un matelas, un lit de plumes, une couverture, traversin oreiller, rideaux de lit et baldaquins, et de six paires de draps, le tout estimé à trois cents soixante trois francs et cinquante centimes,
- d'une batterie de cuisine, vaisselle et divers objets mobiliers estimés quatre vingt trois francs et cinquante centimes.
Ensemble, six cents francs.
Ce contrat nous révèle également deux filiations probables à la lecture des signatures :
Autre information, le prénom du futur époux. Sur tous les actes en ma possession, le futur se prénomme Théodore ou François Théodore. Sur cet acte, il se prénomme Théodore Isaïé et signe Isaïé LAVENANT :
Le prénom est un élément important dans la recherche généalogique. Jamais je n'aurai pensé à chercher des actes au nom d'Isaïé LAVENANT. Maintenant, je serai vigilante. Tout comme pour sa femme qui s'est toujours faite appeler Véronique. J'ai donc commencé à rechercher une Véronique CARPENTIER, alors qu'elle s'appelait Séraphine Albertine... Véronique était le prénom de sa mère.
Autre découverte. Je savais François Théodore LAVENANT, verrier. J'apprends par cet acte qu'il demeurait à la verrerie de la Grande Vallée à Guerville. Ce qui va me permettre d'orienter mes recherches plus précisément pour mieux découvrir ce métier et cette région de traditions, la vallée de la Bresle.
Contrat de mariage
Le contrat établit entre François Théodore LAVENANT et Séraphine Albertine CARPENTIER ne déroge pas à la règle, et même plus.
Le contrat de mariage établit le 7 février 1870 devant Maître LAMOTTE à Gamaches (80), nous apprend que les parents du futur époux font donation d'une somme de trois cents francs à titre d'avancement d'hoirie (héritage). Les parents de la future font donation de biens meubles :
- d'une armoire estimée à cent francs,
- d'un buffet estimé à cinquante trois francs,
- d'un matelas, un lit de plumes, une couverture, traversin oreiller, rideaux de lit et baldaquins, et de six paires de draps, le tout estimé à trois cents soixante trois francs et cinquante centimes,
- d'une batterie de cuisine, vaisselle et divers objets mobiliers estimés quatre vingt trois francs et cinquante centimes.
Ensemble, six cents francs.
Ce contrat nous révèle également deux filiations probables à la lecture des signatures :
Autre information, le prénom du futur époux. Sur tous les actes en ma possession, le futur se prénomme Théodore ou François Théodore. Sur cet acte, il se prénomme Théodore Isaïé et signe Isaïé LAVENANT :
Le prénom est un élément important dans la recherche généalogique. Jamais je n'aurai pensé à chercher des actes au nom d'Isaïé LAVENANT. Maintenant, je serai vigilante. Tout comme pour sa femme qui s'est toujours faite appeler Véronique. J'ai donc commencé à rechercher une Véronique CARPENTIER, alors qu'elle s'appelait Séraphine Albertine... Véronique était le prénom de sa mère.
Autre découverte. Je savais François Théodore LAVENANT, verrier. J'apprends par cet acte qu'il demeurait à la verrerie de la Grande Vallée à Guerville. Ce qui va me permettre d'orienter mes recherches plus précisément pour mieux découvrir ce métier et cette région de traditions, la vallée de la Bresle.
Contrat de mariage
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