Rien n'arrête un(e) généalogiste, pas même un temps digne des bas-fonds de Londres au 18e siècle.
Arrivée sur place, les choses sérieuses commencent.
Tels les élèves studieux que nous sommes, nous commençons la journée par la vérification des devoirs. Tout le monde a bien travaillé, le contrat de mariage est transcrit.
Nous continuons notre formation sur un acte de 1704 (baptême de cloche), puis de 1744 (mariage).
De retour dans les locaux de la Revue Française de Généalogie, Pierre-Valéry Archassal nous fait passer un test d'attention (craignait-il une petite sieste digestive de ses élèves ?).
Ce qu'il faut en retenir ? Qu'il faut savoir se détacher, prendre du recul. C'est avec cette recommandation en tête que nous commençons la deuxième partie de la formation : les temps anciens.
Les lectures se compliquent, effets de transparence, tâches, notes tironiennes (1), rien ne nous est épargné.
Nous n'avons même plus le temps de savourer les chouquettes (coalition entre Pierre-Valéry Archassal et l'équipe de RFG ?)
C'est sur la lecture collégiale d'un rôle de taille de 1695 que nous nous quittons.
Rendez-vous le 7 décembre pour la troisième et dernière journée du séminaire.
La Revue Française de Généalogie propose une nouvelle session de formation sur trois jours : 14 mars, 28 mars et 11 avril 2012.
Vous trouverez toutes les informations sur le site de la revue (lien).
(1) Les notes tironiennes (Université de Bordeaux)
5 commentaires :
Si j'étais plus assidu à Twitter, j'aurai su AVANT que les chouquettes étaient au chocolat et j'en aurai mangé ! Mais on ne me dit rien...
@PVA Je vais me mettre en contact avec le fournisseur afin de trouver une solution pour la prochaine session ;)
Merci de votre passage sur le blog.
J'ai été pris en photo à l'issu de mon plein gré en pleine commande de repas!pas de moment de répit en formation paléographie :-))
Bonsoir Benoît. Déchiffrer le menu du jour est tout aussi important !
Merci de ton passage sur le blog ;)
Je voulais dire, bien entendu, "à mon insu" : l'écriture intuitive de l'iphone ne m'a pas aidé à retranscrire la "fameuse" expression :-)
Je vais à Nancy le 12 janvier pour faire une recherche sur mon ancêtre Marie Anne SORELAS née vers 1837 mais abandonnée par ses parents à l'hospice de Nancy en 1838.
Je vais consulter pour la première fois les archives hospitalières et espère y découvrir des détails sur ses parents.
Je suis toujours disposé à en profiter pour faire une recherche sur un de tes ancêtes né à Nancy également?
Bon WE et à mercredi.
(p.s.: je partage le contenu de ton article "savoir tourner la page" surtout depuis que j'ai consulté pour la première fois des archives notariales de 1730 à Bourges)
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