Yasmena Müller, professeur de flamenco, a l’impression de ne pas savoir qui est sa vraie famille. Elle croit qu’à sa naissance, il y a eu échange de nourrissons. Sa chevelure noire, son amour de la danse, tout cela ne cadre pas avec l’entourage familial dans lequel elle a grandi. Et ce n’est pas tout, elle a d’autres indices… André Bechtold est prié d’aller au fond des choses.
Eric Schoder est Français mais de père allemand. Prisonnier de guerre resté en France après la fin du conflit, celui-ci n’a jamais parlé de son passé outre-Rhin. Aujourd’hui, son fils part à la recherche de ses racines allemandes. Il se retrouve en Saxe, à l’époque où la région était occupée par les Soviétiques, pendant la guerre froide. L’occasion pour Français et Allemands de travailler main dans la main sur les traces du passé.
Cet épisode nous laisse sur notre faim. Dans le cas de Yasmena Müller une analyse ADN a été réalisée pour savoir si ses parents sont bien ses parents biologiques. Nous pouvons nous interroger de l'intérêt de cet épisode dans une émission consacrée à la généalogie, même si la généalogie consiste en la recherche de ses racines. Dans le cas présent, n'aurait-il pas été interressant de rechercher dans les ancêtres de Yasmena s'il n'y avait pas eu un ancêtre italien par exemple ?
La recherche sur le père d'Eric Schoder était plus proche d'une enquête généalogique, mais là encore, comment André Bechtold et Pierre-Valéry Archassal ont-il remonté l'arbre généalogique jusqu'en 1700 ? Beaucoup d'entre nous auraient sûrement apprécié de savoir comment mener des recherches en Allemagne.
Il est dommage que Pierre-Valéry Archassal ne se contente que d'un résumé de l'épisode sur son blog. Pourquoi ne pas profiter de ce moyen de communication pour détailler les recherches et nous donner des pistes et méthodes auxquelles nous n'aurions peut-être pas pensé ?
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