vendredi 28 novembre 2008

Sur les traces du passé : Rêves d'Afrique.

Simeon Blaser ne connaît personne de sa famille d’origine. Il est un enfant trouvé, abandonné au Lesotho, en Afrique, alors qu’il n’était encore qu’un nourrisson. Puis il a été adopté par un couple de Suisses. Mais plus il vieillit, moins il se sent chez lui dans la patrie de Guillaume Tell. Il a décidé de partir en quête de ses racines africaines et demande de l’aide à André Bechtold.

jeudi 27 novembre 2008

Sur les traces du passé : Deux bouts de monde.

Née en Sibérie, Nadia Schönmaier est pourtant allemande selon la loi du sang. Depuis 15 ans, elle vit en Allemagne mais n’a toujours pas retrouvé ses racines familiales. Elle ne sait qu’une chose : il y a environ deux siècles, ses ancêtres ont émigré en Russie, sur les bords de la Volga. Mais qui étaient-ils, d’où venaient-ils ? Où se situe le berceau de la famille ? Autant de questions sans réponses.

mercredi 26 novembre 2008

Sur les traces du passé : Une famille sur mesure.

Yasmena Müller, professeur de flamenco, a l’impression de ne pas savoir qui est sa vraie famille. Elle croit qu’à sa naissance, il y a eu échange de nourrissons. Sa chevelure noire, son amour de la danse, tout cela ne cadre pas avec l’entourage familial dans lequel elle a grandi. Et ce n’est pas tout, elle a d’autres indices… André Bechtold est prié d’aller au fond des choses.

Sur les traces du passé : Drôles de dames.

Pierre-Valéry Archassal étudie la filiation d’un ancien président de la République d’Haïti. Il aurait eu une liaison dont Pierre-Valéry est chargé de retrouver les descendants. Une mission clairement définie. Très vite pourtant, il s’avère plus difficile que prévu d’assembler ce puzzle généalogique dont les pièces se contredisent. Le résultat est surprenant.

mardi 25 novembre 2008

Sur les traces du passé : Guerres et paix.

Depuis lundi 24 novembre, Arte nous emmène sur les traces du passé. 
Deux généalogistes, l’un Français, l’autre germanophone, font des recherches dans les archives, les registres paroissiaux ou fonciers, les bureaux – et lorsque de besoin, dans la cave de la mairie.